Dédicace
Doce comedias nuevas del maestro Tirso de Molina. Primera parte de las comedias de Tirso de Molina
Tirso de Molina
Éditeur scientifique : Sbriziolo, Carola
Description
Auteur du paratexteTirso de Molina
Auteur de la pièceTirso de Molina
Titre de la pièceDoce comedias nuevas del maestro Tirso de Molina. Primera parte de las comedias de Tirso de Molina
Titre du paratexteAl Doctor Juan Pérez de Montalbán
Genre du texteDédicace
Genre de la pièceRecueil de Comedias
Date1631
LangueEspagnol
ÉditionValencia, Patricio Mey, 1631 in-4°. (Lien vers l’édition numérisée bientôt disponible)
Éditeur scientifiqueSbriziolo, Carola
Nombre de pages1
Adresse sourcehttp://bibliotecadigitalhispanica.bne.es/view/action/singleViewer.do?dvs=1378567733413~405&locale=fr_FR&VIEWER_URL=/view/action/singleViewer.do?&DELIVERY_RULE_ID=10&frameId=1&usePid1=true&usePid2=true
Fichier TEIhttp://www.idt.paris-sorbonne.fr/tei/Tirso-PrimeraParte-DedicaceMontalban.xml
Fichier HTMLhttp://www.idt.paris-sorbonne.fr/html/Tirso-PrimeraParte-DedicaceMontalban.html
Fichier ODThttp://www.idt.paris-sorbonne.fr/odt/Tirso-PrimeraParte-DedicaceMontalban.odt
Mise à jour2013-11-06
Mots-clés
Mots-clés français
Relations professionnellesRapports entre Tirso de Molina et Juan Pérez de Montalbán
Mots-clés italiens
Rapporti professionaliRapporti tra Tirso de Molina e Juan Pérez de Montalbán
Mots-clés espagnols
Relaciones profesionalesRelación entre Tirso de Molna y Juan Pérez de Montalbán
Présentation
Présentation en français
L’extrême concision et la très sobre simplicité de la dédicace – que l’auteur définit lui-même comme un « petit remerciement » – pourrait confirmer, selon moi, le caractère fallacieux du document. De fait, il apparaît relativement étrange que Tirso dédie le recueil, et n’adresse que ces quelques mots ordinaires à un ami cher, et plus encore si nous confrontons le document aux autres paratextes des Partes, où le Mercédaire saisit toujours l’occasion de méditer, dans un style assez rhétorique, sur d’autres sujets, qu’il s’agisse des rivalités littéraires, de l’envie, de l’ignorance, etc. On ne trouve au contraire ici que l’éloge conventionnel du dédicataire à Juan Pérez de Montalbán, dont Tirso reconnaît être « un si zélé partisan », aux côtés de la traditionnelle captatio benevolentiae, qui sollicite la protection de son ami madrilène, tout en lui adressant ses vœux de santé et de prospérité. Il me semble de surcroît que la constante insistance sur cette amitié, en si peu de lignes, et par ailleurs si simples (Tirso se définit en tant que « partisan » et « ami » de Montalbán et la signature reprend l’expression « ami de Votre Grâce »4), pourrait bien être un signe supplémentaire qu’il s’agit en réalité d’une dédicace fallacieuse. Enfin, comme l’a fait remarquer Ruth Kennedy5, Tirso désigne ici de façon formaliste son ami Montalbán comme « Votre Grâce »6, tout en le tutoyant familièrement dans les dizains qu’il lui dédie dans les textes liminaires de Sucesos y prodigios de Amor (Fortunes et prodiges d’Amour, 1624) .
(Traduction de Sylvie Thuret)
Présentation en espagnol
Texte
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Al Doctor Juan Pérez de Montalbán
Por ser estas doce comedias de un tan aficionado de V. M. me atrevo a que salgan a luz debajo de su amparo. Reciba este pequeño agradecimiento de un amigo que le desea mucha salud y aumentos en su persona, cuya vida prospere el cielo.
Amigo de V. M.