Prologue
Pastorale de Coridon et Clérice
Anonyme
Éditeur scientifique : Louvat-Molozay, Bénédicte
Description
Auteur du paratexteAnonyme
Auteur de la pièceAnonyme
Titre de la piècePastorale de Coridon et Clérice
Titre du paratextePrologue
Genre du textePrologue
Genre de la piècePastorale
Date1628
LangueOccitan
ÉditionBéziers : Jean Martel, 1628, in-12. (Numérisation en cours)
Éditeur scientifiqueLouvat-Molozay, Bénédicte
Nombre de pages2
Adresse source
Fichier TEIhttp://www.idt.paris-sorbonne.fr/tei/Anonyme-Coridon-Prologue.xml
Fichier HTMLhttp://www.idt.paris-sorbonne.fr/html/Anonyme-Coridon-Prologue.html
Fichier ODThttp://www.idt.paris-sorbonne.fr/odt/Anonyme-Coridon-Prologue.odt
Mise à jour2013-01-20
Mots-clés
Mots-clés français
GenrePastorale
Personnage(s)Satyre ; Paix
FinalitéPasse-temps
ExpressionVers rustiques
ActualitéPaix / guerre
AutreCulture populaire / culture savante
Mots-clés italiens
GenerePastorale
Personaggio(i)Satiro ; Pace
FinalitàDivertimento
EspressioneVersi rustici
AttualitàPace / guerra
AltriCultura popolare / cultura dotta
Mots-clés espagnols
GéneroPastoril
Personaje(s)Sátiro ; Paz
FinalidadPasatiempo
ExpresiónVersos rústicos
ActualidadPaz / guerra
OtrasCultura popular / cultura sabia
Présentation
Présentation en français
Le prologue de la Pastorale de Coridon et Clérice, septième pièce du recueil de 1628, n’échappe pas à la règle. Son auteur y dresse aussi, discrètement, la culture populaire et le « passe-temps » contre la culture savante et ses références mythologiques ; en réalité, il y a là moins opposition que dialogue entre les deux : telle que la cultivent les auteurs, anonymes pour la plupart, du « Théâtre de Béziers », la pastorale est le lieu d’un échange entre d’une part des structures et des motifs empruntés à la pastorale littéraire, qu’elle soit française ou italienne, et d’autre part un ancrage référentiel, qui tire même localement ces œuvres du côté de la pièce d’actualité. C’est le rôle assigné, dans la Pastorale de Coridon et Clérice, au motif du berger devenu soldat par force et au personnage de la Paix, figuration explicite de la « paix de Montpellier » signée au mois d’octobre 1622, et qui met fin à la première des guerres de religion menées sous Louis XIII – ce qui permet de penser que la pièce a pu être créée au mois de mai 16232.
Texte
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